Un ambulancier aux mains baladeuses déjà condamné pour viol
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Un ambulancier aux mains baladeuses déjà condamné pour viol
Bernard D, 53 ans, comparaissait, jeudi, devant le tribunal correctionnel de Toulouse, pour attouchements sexuels.
Début juillet, il a profité de son statut d’ambulancier pour agresser une femme handicapée moteur, incapable de se défendre : "Il a commencé par me toucher la poitrine puis un peu plus bas. Mes appels à l’aide étaient étouffés par les bruits de la ventilation de la voiture".
Le prévenu reconnaît les faits mais ne peut les expliquer : "J’ai ressenti un besoin irrépressible, une pulsion". Les études psychologiques confirment cette version en qualifiant l’acte d’irréfléchi : "Cet individu a besoin d’un traitement médical fort, approprié à ses troubles et accompagné d’un suivi thérapeutique intensif", considère un expert.
Que fait-on de lui ?
Cette phrase n’a cessé d’être prononcée à l’audience. D’un côté, le casier judiciaire du prévenu : multirécidiviste, déjà condamné pour viol et incarcéré à de nombreuses reprises. De l’autre, les arguments repris par la défense : "La prison ne sert à rien avec cet homme. Vous le savez très bien. Les soins prodigués en prison sont inexistants. Une castration chimique serait encore une solution plus adaptée".
De son côté, le procureur s’étonne que Bernard D. puisse travailler au contact de malades : "être ambulancier avec ce genre de pulsions, c’est comme embaucher un ancien alcoolique comme serveur". Suivant les réquisitions du parquet, le tribunal l’a condamné à trois ans de prison dont deux assortis de mise à l’épreuve et obligations de soins.
Des caresses sur le sein
Début juillet, un ambulancier de 27 ans a été condamné pour "agression sexuelle" à un an de prison avec sursis et interdiction d’activités paramédicales pendant cinq ans.
Une peine assortie de 1500 € de dommages et intérêts à reverser à la victime. Le 22 janvier, à Aucamville, une jeune femme de 26 ans appelle les secours après un accouchement difficile. Lorsque l’ambulance arrive, le jeune homme décide de prendre place à l’arrière du véhicule. Sous prétexte de prendre le pouls de la patiente, il en profite pour lui toucher le sein durant 10 minutes.
Dès l’arrivée de l’ambulance à l’hôpital Rangueil, la jeune patiente, choquée, s’est livrée à l’équipe médicale qui a donné l’alerte. Le jeune ambulancier a été licencié à la suite des faits.
Voir l'article ICI
Début juillet, il a profité de son statut d’ambulancier pour agresser une femme handicapée moteur, incapable de se défendre : "Il a commencé par me toucher la poitrine puis un peu plus bas. Mes appels à l’aide étaient étouffés par les bruits de la ventilation de la voiture".
Le prévenu reconnaît les faits mais ne peut les expliquer : "J’ai ressenti un besoin irrépressible, une pulsion". Les études psychologiques confirment cette version en qualifiant l’acte d’irréfléchi : "Cet individu a besoin d’un traitement médical fort, approprié à ses troubles et accompagné d’un suivi thérapeutique intensif", considère un expert.
Que fait-on de lui ?
Cette phrase n’a cessé d’être prononcée à l’audience. D’un côté, le casier judiciaire du prévenu : multirécidiviste, déjà condamné pour viol et incarcéré à de nombreuses reprises. De l’autre, les arguments repris par la défense : "La prison ne sert à rien avec cet homme. Vous le savez très bien. Les soins prodigués en prison sont inexistants. Une castration chimique serait encore une solution plus adaptée".
De son côté, le procureur s’étonne que Bernard D. puisse travailler au contact de malades : "être ambulancier avec ce genre de pulsions, c’est comme embaucher un ancien alcoolique comme serveur". Suivant les réquisitions du parquet, le tribunal l’a condamné à trois ans de prison dont deux assortis de mise à l’épreuve et obligations de soins.
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