Abandonné à Montréal par son coéquipier
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Abandonné à Montréal par son coéquipier
L'enquête interne concernant l'incident impliquant deux ambulanciers de la Coopérative des ambulanciers de la Mauricie, la semaine dernière à l'Institut de cardiologie de Montréal, se poursuit. Il semble toutefois que le comportement de l'ambulancier qui est demeuré à Montréal pourrait être plus en cause que celui de son collègue.
Rappelons qu'une mésentente entre les deux coéquipiers est survenue à Montréal. Les deux ambulanciers venaient d'effectuer un transport du CHRTR vers l'Institut quand le responsable des transports de l'établissement a demandé à ce qu'ils ramènent un autre patient avec eux vers Trois-Rivières.
Un ambulancier a accepté alors que son collègue a refusé. Les deux collègues auraient discuté fort. Le premier aurait alors décidé d'aller voir le patient en question alors que le second a choisi, après un certain moment, de reprendre la route vers Trois-Rivières avec l'ambulance, laissant son coéquipier derrière lui.
Selon ce qu'il a été possible d'apprendre, une plainte logée par l'Institut de cardiologie portait davantage sur le comportement de l'ambulancier demeuré sur place que sur celui de son collègue.
L'ambulancier qui est resté à Montréal a d'ailleurs été "libéré de son travail", avec salaire, dès le lendemain de l'incident. La direction de la CAM refuse de parler de suspension, mais reconnaît toutefois que le comportement de l'employé fait partie des éléments actuellement vérifiés dans l'enquête.
"Le suspendre serait reconnaître qu'il est coupable. Or, il n'en est rien pour le moment. Quand on a une plainte d'un établissement autre que l'entreprise, on se doit de l'examiner. Si on considère que l'individu en question, on est mieux de ne pas le mettre au travail, on le libère de façon administrative avec rémunération jusqu'à la fin de l'enquête", souligne Gaétan Grenier, directeur des opérations pour la CAM.
Selon ce que Le Nouvelliste a pu apprendre, des allégations de manquement au comportement de l'ambulancier font partie des éléments vérifiés, tout comme certaines paroles inappropriées qui, selon des témoins, auraient été prononcées.
Notamment, son comportement lors du transport du premier patient entre Trois-Rivières et Montréal ferait partie des éléments de l'enquête. Gaétan Grenier refuse toutefois de confirmer quoi que ce soit tant que l'enquête ne sera pas complétée. "Je me dois d'examiner la plainte. Mais pour l'instant, il n'y a aucune sanction, c'est juste pour fin d'enquête. Si les deux ambulanciers avaient été visés dans ce cas-là, les deux auraient été libérés du travail. C'est la façon de faire de l'entreprise", ajoute M. Grenier.
Rappelons qu'une mésentente entre les deux coéquipiers est survenue à Montréal. Les deux ambulanciers venaient d'effectuer un transport du CHRTR vers l'Institut quand le responsable des transports de l'établissement a demandé à ce qu'ils ramènent un autre patient avec eux vers Trois-Rivières.
Un ambulancier a accepté alors que son collègue a refusé. Les deux collègues auraient discuté fort. Le premier aurait alors décidé d'aller voir le patient en question alors que le second a choisi, après un certain moment, de reprendre la route vers Trois-Rivières avec l'ambulance, laissant son coéquipier derrière lui.
Selon ce qu'il a été possible d'apprendre, une plainte logée par l'Institut de cardiologie portait davantage sur le comportement de l'ambulancier demeuré sur place que sur celui de son collègue.
L'ambulancier qui est resté à Montréal a d'ailleurs été "libéré de son travail", avec salaire, dès le lendemain de l'incident. La direction de la CAM refuse de parler de suspension, mais reconnaît toutefois que le comportement de l'employé fait partie des éléments actuellement vérifiés dans l'enquête.
"Le suspendre serait reconnaître qu'il est coupable. Or, il n'en est rien pour le moment. Quand on a une plainte d'un établissement autre que l'entreprise, on se doit de l'examiner. Si on considère que l'individu en question, on est mieux de ne pas le mettre au travail, on le libère de façon administrative avec rémunération jusqu'à la fin de l'enquête", souligne Gaétan Grenier, directeur des opérations pour la CAM.
Selon ce que Le Nouvelliste a pu apprendre, des allégations de manquement au comportement de l'ambulancier font partie des éléments vérifiés, tout comme certaines paroles inappropriées qui, selon des témoins, auraient été prononcées.
Notamment, son comportement lors du transport du premier patient entre Trois-Rivières et Montréal ferait partie des éléments de l'enquête. Gaétan Grenier refuse toutefois de confirmer quoi que ce soit tant que l'enquête ne sera pas complétée. "Je me dois d'examiner la plainte. Mais pour l'instant, il n'y a aucune sanction, c'est juste pour fin d'enquête. Si les deux ambulanciers avaient été visés dans ce cas-là, les deux auraient été libérés du travail. C'est la façon de faire de l'entreprise", ajoute M. Grenier.
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