David Witasse, 26 ans, stagiaire ambulancier
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David Witasse, 26 ans, stagiaire ambulancier
David Witasse sait à quelle heure il commence sa journée de travail, jamais quand il termine. A 26 ans, David vient de démarrer une formation en alternance d’ambulancier sur un an, et partage son temps : trois semaines par mois, il revêt sa tenue médicale pour Ambulances du Parc, le reste du temps, il suit ses cours à l’AFT-IFTIM à Villette d’Anthon, dans l’Isère.
Ex-gendarme sous contrat pendant deux ans et demi, il a suivi les traces de son père, qui s’est lui aussi reconverti dans ce milieu après une carrière dans l’armée de l’air. "Je voulais continuer à être au service des autres".
Second membre d’équipage d’une ambulance, David assiste l’ambulancier pour le transport. Les jours se suivent à un rythme effréné mais ne se répètent pas. Transports inter-hospices, acheminements du domicile au travail, l’ambulance joue souvent fonction de relais du SAMU les week-ends. "Ca change tout le temps, on n’a jamais les mêmes personnes, les mêmes pathologies", apprécie David. Au volant ou au contact du patient, David aime lier les deux casquettes, transport et sanitaire : "Il faut bien anticiper pour ne pas secouer le véhicule, risquer d’aggraver l’état du malade. Sur une intervention, on va plus vite mais on n’a pas tous les droits. Quand je suis à l’arrière, j’aime l’échange qui s’établit, cette disponibilité totale".
A l’école, la formation est technique et médicale : le jeune apprenti se forme sur les appareils respiratoires, circulatoires, les postures à adopter, les techniques pour brancarder "et préserver son dos, le plus important, car c’est un travail physique", précise le jeune ambulancier. Attentif, serviable et discret, David a trouvé un métier qui lui va comme un gant. D’ailleurs, son patron projette de l’embaucher à l’issue de sa formation.
Ex-gendarme sous contrat pendant deux ans et demi, il a suivi les traces de son père, qui s’est lui aussi reconverti dans ce milieu après une carrière dans l’armée de l’air. "Je voulais continuer à être au service des autres".
Second membre d’équipage d’une ambulance, David assiste l’ambulancier pour le transport. Les jours se suivent à un rythme effréné mais ne se répètent pas. Transports inter-hospices, acheminements du domicile au travail, l’ambulance joue souvent fonction de relais du SAMU les week-ends. "Ca change tout le temps, on n’a jamais les mêmes personnes, les mêmes pathologies", apprécie David. Au volant ou au contact du patient, David aime lier les deux casquettes, transport et sanitaire : "Il faut bien anticiper pour ne pas secouer le véhicule, risquer d’aggraver l’état du malade. Sur une intervention, on va plus vite mais on n’a pas tous les droits. Quand je suis à l’arrière, j’aime l’échange qui s’établit, cette disponibilité totale".
A l’école, la formation est technique et médicale : le jeune apprenti se forme sur les appareils respiratoires, circulatoires, les postures à adopter, les techniques pour brancarder "et préserver son dos, le plus important, car c’est un travail physique", précise le jeune ambulancier. Attentif, serviable et discret, David a trouvé un métier qui lui va comme un gant. D’ailleurs, son patron projette de l’embaucher à l’issue de sa formation.
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